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4) Les interfaces de logiciels :Il existe deux types différents d’interface de logiciel, qui fonctionnent toutes deux sur le même principe : les cogniciels et les réflexogiciels. Ces interfaces câblent les zones du cerveau responsables de la mise en application des connaissances et de l’expérience. La différence entre les deux vient du fait que les cogniciels ne concernent que la connaissance, les disciplines intellectuelles (par exemple : Anglais, Psychologie…), tandis que les réflexogiciels impliquent une part plus ou moins grande de savoir-faire manuel ou corporel (par exemple : Esquive, Hovercraft…). En conséquence de quoi l’interface de réflexogiciels est accompagnée d’un dispositif cybernétique envahissant tout le corps afin de contrôler finement la mise en œuvre de ce savoir-faire. Ces interfaces coordonnent donc le chipjack, où se trouve connectée une puce de biogiciel, et le système nerveux. Le biogiciel synthétise tous les modes de raisonnement, d’analyse et de réaction propres à une compétence ou connaissance particulière, et il fournit les données nécessaires à leur mise en œuvre. Tout ceci correspond à un niveau précis dans la compétence ou connaissance en question. Lorsque la puce est connectée, on considère que le personnage possède le niveau correspondant dans cette compétence ou connaissance. Il est à noter que l’interface de réflexogiciels limite la complexité des réflexogiciels du fait des contraintes techniques inhérentes au câblage : ceci est représenté par le fait que la somme des niveaux des réflexogiciels branchés simultanément ne peut dépasser le niveau de l’interface, qui est de 10 au maximum.
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