LES OUTILS

4) Les dommages au software et au hardware :

Dégradation conjoncturelle :

L’évolution technologique est un phénomène constant, extrêmement rapide, qui remet tous les jours en question la qualité du matériel de haute technologie, tout particulièrement dans le domaine de l’informatique : la recherche met sans cesse au point de nouvelles techniques, qui permettent d’augmenter la vitesse des machines, la convivialité et la simplicité d’utilisation des programmes, ou l’efficacité des glaces. La conséquence est que les programmes anciens perdent très rapidement de leur efficacité face à un matériel à la pointe de la technologie. Pour refléter ceci, tous les programmes, toutes les glaces et tous les ordinateurs, télécoms, consoles ou autres… perdent tous les ans 1 point dans tous leurs indices, tant qu’ils ne sont pas au niveau 1. Une fois tombés au niveau 1 dans tous leurs attributs, ils n’évoluent plus. La mémoire, RAM et ROM, pour sa part perd chaque année 10 % de sa valeur originelle, jusqu’à atteindre 10 % et y rester.

Dommages au software et aux données :

La plupart des conflits matriciels résultent en un plantage des programmes utilisés. La solution unique pour résoudre ce problème est d’effacer le programme planté de la mémoire vive, puis de le charger à nouveau. Une copie fonctionnelle du programme est alors à nouveau disponible.

Plus grave est la situation où la mémoire de stockage a été modifiée, par exemple par une glace de type Commando. A moins de disposer d’un matériel spécial, les données sont rarement récupérables, surtout si la mémoire a été formatée. La parade à ceci est de disposer de copies de sauvegarde des données stockées en mémoire. C’est ainsi que la plupart des particuliers disposent de copies de leurs données sur des dispositifs physiques, non-connectés à la matrice.

Dommages au hardware :

Lorsque les puces sont atteintes, la situation est vraiment grave. Ces dommages ne sont réparables que par le remplacement des composants grillés, ce qui peut coûter très cher. Ces dommages, généralement provoqués par des glaces de type Ninja, sont proportionnels à la perte de points de Solidité : lorsque tous ces points ont été perdus, les composants essentiels de la console ont été détruits, et rien n’est récupérable. Si des points de Solidité n’ont pas été perdus, il est possible de réparer la console ou de revendre les composants intacts. La console subit alors une perte de points d’attributs proportionnelle à la perte de points de Solidité. Les points d’attribut perdus doivent être répartis de manière aléatoire entre les différents attributs, et les pertes en mémoire vive et mémoire de stockage sont proportionnelles aux dégâts. L’estimation de la console peut alors se faire sur ces bases.