|
2) Les interfaces de personnalité :Cette interface extrêmement complexe influence les éléments les plus fondamentaux de la personnalité de l’interfacé, voire en remplace certains, en fonction des schémas proposés par une biopuce connectée via un chipjack. La biopuce contient un schéma de personnalité cohérent et viable, comprenant des stéréotypes de comportement, de réaction, d’orientation de la pensée, qui agissent tous au niveau du subconscient. Selon la personnalité choisie, des bonus ou des malus en Commandement, Calme, Volonté ou Sociabilité peuvent être apportés. Ces modificateurs dépassent rarement + 20 ou – 20. Ces puces ont un fort potentiel addictif si leur contenu n’est pas sévèrement contrôlé : à chaque personnalité est associé un niveau de dépendance qui est directement fonction de l’affirmation de la personnalité artificielle, de sa richesse et de sa complexité. Une dépendance psychologique peut donc très bien apparaître. Des laboratoires clandestins ont mis au point une version de cette interface qui ne câble pas les zones du cerveau responsables du subconscient, mais celles responsables du plaisir et de la douleur. Les biopuces de plaisir vendues au marché noir stimulent ces centres en une incroyable diversité de manières. Le caractère naturellement addictif de ces puces a été volontairement développé à un niveau élevé, rarement inférieur à 40.
|